Pour les Inabstraits, il s’agit de proposer quelque chose de nouveau, qui s’abstrait du réel, et qui suggère le vivant. Sortir des acquis, reformuler le regard. Il s’agit de casser les liaisons et de les recombiner avec d’autres, pour créer de l’énergie.
Un souffle nouveau, pour libérer la pensée. La pensée est créatrice, elle peux générer plus d’énergie qu’elle n’en consomme.
Appliquer l’inabstraction au monde qui nous entoure, c’est s’assurer un nouvel élan, global, éloigné de la pensée unique, vers l’esthétisme libre.
La forme comme point de départ. La liberté comme chemin.
La beauté comme arrivée. Les Inabstraits ont investi le square Chopin pour réaliser une fresque participative.