L’œuvre, qui rappelle les dessins d’architecture de Claude Nicolas Ledoux, oscille entre utopie, mobilier urbain et sculpture.
Son allure, avec une dynamique de courbes fuyantes, intègre le visiteur dans sa composition et l’invite à se projeter au plus loin et au plus large.
Cette posture est induite par l’inclinaison d’un siège à 45° et la rotondité de la construction qui renvoient également à ce que nous connaissons du système solaire.